Déambulantes, avec cette odeur familière
Les commerçantes de libertés passagères
Sont arrivées pour nous sauver, y connaissent leur affaire
Des gens seuls y'en a trop
Faut les troubler bien comme il faut
Soulevé un instant par des notions d'grandeurs passagères
J'me découpe un morceau d'futur en l'collant su'l frigidaire
Pour qu'au réveil y’m’dise eille, faut pas trop s'en faire
Y faut c'qui faut
Malgré les embuches qui nous rendent moins stables
On a pas perdu notre caalme
En examinant le ciel d'hiver
En se sentant brave face au noir
On opère le vide de nos valeurs éphémères
J'me sens un brin géant qui prend l'avenue en trombe
Partageant mon questionnement avec le monde
Fait à l'idée de me r'trouver dans une tombe
Une caverne pétrifiée
Que même les vers ont délaissé
À stagner au même endroit, j'invoque mon calvaire
J'propulserai mon corps en avant sans r'garder en arrière
Je flotterai sur mes idées les pieds salés dans’ mer
Adieu les potes et les congères
J'ai besoin d'bleu et de vert
Le cœur cryogénique en appel au désert
J'fonce dans l'tas, oui j'y vas après un dernier verre
Et brique par brique je défais un château nommé misère
La pédale au fond Léon, salut, merci, bonsoir
credits
from Oryctérope,
released January 1, 1998
Auteur:Vincent Peake
Compositeur: Vincent Peake
Excellent album, bien dosé...malheureusement trop court! "Same mistake" un bon beat joyeux ska/punk/rock/reggae pour un sujet sombre...a redneck revival. J'adore quand Grimskunk mélange les genres comme pour Mahmoud's Dream sha7
Simply incredible. Each piece is such an emotional ride. Just love Willie, Paradis City, and Les Bateaux. (Les Bateaux makes me cry every time.) meatnordrink